Le travail à la recherche de son propre équilibre, instable, fragile, n’est jamais clos, tant l’individu est constamment soumis à diverses agressions du milieu dans lequel il évolue depuis sa naissance, voire précédant celle-ci, ou à d’autres, plus subtiles, inscrites dans son patrimoine génétique. Le rôle du médecin finalement est de permettre à son patient la prise en charge optimale de son équilibre personnel, de le préparer en quelque sorte à sa vérité propre. Il dispose pour ce faire de techniques de soins maintenant bien connues, acupuncture, pharmacopée, massages, toutes orientées vers des réglages énergétiques fins. Tout cela ne serait que de peu d’utilité si le patient, de lui-même, ne consolidait le travail amorcé par une hygiène de vie adéquate, une diététique appropriée, des techniques de relaxation et de respiration, voire de méditation.